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L ’hydroxychloroquine ...

J'ai reçu , ce matin , un mail de Mr Xavier Bazin étant abonné à sa newsletter (sante-corps-esprit.com/) . Il me demande de partager . Je partage , avec les réserves nécessaire d'un non médecin , mais je reste convaincu de son contenu car me semble-t-il très documenté


Avertissement : Qui est Xavier Bazin ?


Il est journaliste scientifique, éditeur et écrivain, passionné de médecine naturelle.

Extrait du Contenu de ce Mail :


Il y a quelques jours, les autorités et les grands médias ont essayé de faire croire que la chloroquine est un médicament dangereux.


Regardez cet avertissement de l’Agence régionale de santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine :





« Des cas de toxicité cardiaque ont été signalés suite à des prises en automédication d’hydroxychloroquine face à des symptômes évocateurs du Covid-19, ayant parfois nécessité une hospitalisation en réanimation »[1].

En réalité, c’est probablement une fake news car l’hydroxychloroquine ne peut pas être prise en auto-médication : depuis janvier dernier, elle ne peut être prescrite que sur ordonnance !

Et de toutes façons, il faut préciser que le Dr Ménat et les 600 médecins signataires de la pétition sont totalement opposés à l’auto-médication.


Ce qu’ils demandent, c’est que les médecins de terrain retrouvent le droit de prescrire ce médicament aux malades du Covid-19.


Comme tout médicament, l’hydroxychloroquine peut comporter certains risques et doit être pris sous surveillance médicale.


La bonne nouvelle est que les médecins savent parfaitement comment utiliser ce médicament sans risque pour leur patient.


Car l’hydroxychloroquine a l’avantage d’être une vieille molécule, sur laquelle on dispose de dizaines d’années d’expérience et de recul.


Aujourd’hui, tous les médecins savent que ce médicament a deux effets indésirables possibles :

  • Une atteinte à la rétine et un risque cécité lorsqu’il est pris tous les jours pendant plusieurs années;

  • Une atteinte au cœur, avec un risque rare mais réel d’arrêt cardiaque.

Le problème de cécité ne nous concerne pas ici, puisque le traitement du Pr Raoult n’est donné que pendant 10 jours au maximum.


En revanche, il faut effectivement faire attention au risque cardiaque, surtout lorsque l’hydroxychloroquine est prise avec l’azithromycine, comme le recommande le Pr Raoult.

Mais je répète que les médecins savent parfaitement comment éviter ce risque.

Les médecins traitants connaissent leurs malades, et donc ceux qui pourraient être à risque et ceux qui ne le sont pas.


Et s’ils ont le moindre doute, ils peuvent prescrire un électrocardiogramme (ECG) avant et après la prise de l’hydroxychloroquine, pour s’assurer qu’il n’y a aucun problème. Ils peuvent aussi mesurer la quantité de potassium dans le sang des malades.


Écoutez le Dr Jean-Christophe Ruffin, au micro d’Europe 1 :

« Je n’arrive pas à comprendre qu’on ne donne pas aux généralistes les moyens de se servir de cette molécule. Effectivement il faut prendre certaines précautions avant de la prescrire, mais n’importe quel médecin généraliste est en mesure de le faire »[2].

Bref, les médecins de terrain peuvent éliminer les risques éventuels de l’hydroxychloroquine.

C’est une excellente nouvelle, car ce n’est pas le cas de tous les médicaments, loin de là.

Normalement, il y a toujours un compromis entre le bénéfice espéré et les risques encourus.

Mais ici, le risque encouru est quasiment nul si le médicament est pris sous surveillance médicale.


Alors que le bénéfice, lui, est très prometteur (voir ci-dessous) !


Certes, on n’a pas de garantie d’efficacité à 100 % pour l’instant, mais puisque le risque est quasiment nul, il n’y a aucune raison d’empêcher les médecins de le prescrire !

L’erreur à éviter absolument, c’est de prescrire ce médicament au mauvais moment.

Et pourtant, cela peut paraître fou mais, c’est ce que nos autorités demandent :


Le gouvernement recommande ce traitement quand c’est TROP TARD


Aujourd’hui, tous les médecins sont d’accord sur un point : l’hydroxychloroquine est totalement inutile quand elle est administrée aux patients en état critique.

Les Académies nationales de médecine et de pharmacie l’ont dit très clairement, dans un communiqué du 26 mars dernier :

« L’Académie nationale de Médecine considère que la libération par les pouvoirs publics de l’hydroxychloroquine pour les malades hospitalisés en détresse respiratoire ne saurait être une réponse adaptée». [3]

Le Professeur Raoult a parfaitement expliqué pourquoi : quand vos poumons sont gravement atteints, le problème n’est plus le virus.

A ce stade, on ne trouve presque plus de virus dans votre corps : ce qu’il faut combattre, c’est la défaillance de vos poumons et de vos reins.

Dans un communiqué récent, le Collège de Médecine générale dit les choses encore plus clairement :

« La décision politique d’autoriser la prescription d’hydroxychloroquine uniquement à l’hôpital relève d’un non-sens délétère. La communauté scientifique est unanime : si l’hydroxychloroquine pouvait avoir une efficacité, cela serait au début des symptômes de la maladie»[4].

Vous voyez que la recommandation officielle sur l’hydroxychloroquine est absurde.

« C’est la décision la plus bête du monde », a tonné le professeur Willy Rozenbaum, spécialiste du sida[5].

De fait, le décret du 26 mars n’autorise les médecins à donner l’hydroxychloroquine à leurs patients que s’ils sont hospitalisés, dans un état grave.

Alors que tous les scientifiques savent que ce traitement doit être donné dès le début des symptômes pour pouvoir être efficace.

Donc, aujourd’hui encore, lundi 6 avril, on marche sur la tête :

  • Non seulement le gouvernement interdit de donner ce médicament au moment où il pourrait être utile ;

  • Mais en plus, nos grands pontes sont en train de tester l’efficacité de ce médicament à un stade de la maladie où l’on sait déjà qu’il ne fonctionne pas!!

Je sais que c’est difficile à croire, mais c’est la stricte vérité :


Nos grands pontes testent l’hydroxychloroquine quand c’est TROP TARD


La plus grande étude clinique officielle s’appelle Discovery.

Mais cette étude va tester l’hydroxychloroquine sur des patients gravement malades, quand c’est trop tard.

 « Il n’y aura rien à espérer de cette étude concernant l’hydroxychloroquine, qui est administrée trop tard »[6], a déclaré le Pr Christian Perronne.

Et comme si cela ne suffisait pas, l’étude Discovery n’utilise même pas le traitement recommandé par le Professeur Raoult !

  • Le protocole de Discovery prévoit 400 mg d’hydroxycloroquine par jour, là où le Pr Raoult en préconise 600 mg ;

  • Et Discovery ne teste que l’hydroxychloroquine seule, alors que le Pr Raoult a eu les meilleurs résultats en l’associant à un antibiotique, l’azithromycine.

Conclusion désabusée du Pr Didier Raoult : « Si on avait envie de prouver que l’hydroxychloroquine ne marche pas, on ne s’y prendrait pas autrement »[7].

Et ce n’est pas tout.


On a le même problème avec l’autre grande étude (Hycovid), menée par le CHU d’Angers :

  • Là encore, l’étude ne teste que l’hydroxychloroquine seule, sans azythromicine,

  • et à des doses étranges (800 mg, puis 400 mg), qui ne sont pas celles du Pr Raoult.

Dosage étrange ? Sur le site du Quotidien du Médecin, un docteur va même plus loin[8] :

« J’ai le sentiment que cette étude HYCOVID vise à discréditer le Pr RAOULT car on se doute qu’avec une dose initiale de 800 mg il y a de forte chance qu’il y ait un accident cardiaque, suivi d’une annonce tonitruante dans la presse qu’il ne faut surtout pas utiliser l’hydroxychloroquine ».

Bref, on dirait vraiment que tout est fait pour empêcher de savoir la vérité sur l’efficacité du protocole du Pr Raoult.

Alors que c’est, au moment où je vous parle, le traitement médicament de loin le plus prometteur contre l’épidémie !

Je vous le disais déjà le 3 mars, il y a un mois… mais plus les jours avancent, plus je suis convaincu de l’intérêt du traitement du Pr Raoult :


10 arguments pour l’efficacité probable de l’hydroxychloroquine


Je voudrais récapituler ici 10 raisons qui me rendent très optimistes :


  • Début février, la chloroquine et l’hydroxychloroquine ont montré une excellente efficacité in vitro contre le coronavirus chinois[9] ;

  • Mi-février, les résultats prometteurs de tests cliniques en Chine ont conduit les hautes autorités de santé de ce pays à recommander officiellement ce médicament pour traiter le coronavirus[10] ;

  • Mi-mars, le Professeur Raoult a traité 80 patients par hydroxychloroquine et azithromycine, et a constaté une diminution très rapide de leur charge virale[11];

  • Fin mars, une étude chinoise réalisée contre placebo montre une réelle efficacité de l’hydroxychloroquine : le médicament réduit la durée des symptômes des malades et accélère la guérison des pneumonies[12] – et surtout, aucun patient traité ne s’est aggravé (donc 0 %), alors que 12 % du groupe placebo a fini en « état critique »[13].


Voilà les arguments scientifiques les plus forts en faveur du protocole du Pr Raoult.

Mais je voudrais aussi signaler d’autres éléments, moins « scientifiques » mais tout de même intéressants et complémentaires :


  • Le Professeur Raoult est sûr de lui – or c’est est un des meilleurs infectiologues au monde, spécialiste des infections respiratoires et de l’hydroxychloroquine, un médicament qu’il a beaucoup pratiqué dans sa carrière ;

  • Un médecin new-yorkais, le Dr Zelenko, a obtenu un taux de succès proche de 100 % avec l’hydroxychloroquine + azithromycine (+ zinc) : il a donné ce traitement à 350 patients à haut risque, dès les premiers symptômes, et aucun n’est décédé à ce jour (seuls 2 d’entre eux ont été intubés)[14];

  • Un des plus grands infectiologues américains, le Dr Stephen Smith, a obtenu des résultats tout aussi prometteurs sur ses patients, et a déclaré à la télévision, en « prime time », que l’hydroxycholoroquine+ azithromycine « change la donne, c’est le début de la fin de l’épidémie »[15];

  • Dans un grand sondage réalisé sur plus de 6 000 médecins dans 30 pays, l’hydroxychloroquine a été majoritairement considérée comme le traitement « le plus efficace» contre le Covid-19[16] ;

  • En France, la plupart des médecins touchés par le Covid-19 se soignent avec l’hydroxychloroquine – c’est ce qu’a révélé publiquement le médecin urgentiste Patrick Pelloux : « tous mes confrères médecins touchés par le Covid-19 ont pris de la chloroquine»[17].

  • En Italie, le Dr Pierluigi Bartoletti, vice-président de la Fédération Italienne des médecins généralistes, a déclaré que l’hydroxychloroquine est désormais largement prescrite aux patients au début de la maladie, « avec d’ores et déjà des résultats très encourageants»[18]

A ce stade, il est donc très probable que l’hydroxychloroquine a bien une efficacité contre le Covid-19.

Ce n’est pas sûr à 100 %, mais on a largement assez d’éléments pour traiter les patients les plus à risques sans attendre :


Récapitulons : voici le bénéfice-risque de l’hydroxychloroquine !


Au total, quel est le risque de suivre le protocole du Pr Raoult ?

Comme on l’a vu, s’il est pris sous surveillance médicale, le risque est quasiment nul.

Le risque cardiaque est inférieur à 1 sur 100 et on peut totalement l’éviter avec un suivi médical étroit.

Maintenant, quel est le risque de ne pas prendre ce traitement ?

En France, au moment où je vous écris, 8 % des cas confirmés au coronavirus sont morts.

Autrement dit, vous avez à peu près 1 risque sur 10 de mourir si vous êtes testé positif au coronavirus.

Bien sûr, ce n’est qu’une moyenne statistique : en réalité, tout dépend de votre âge et de votre vulnérabilité.

Si vous êtes en bonne santé, sans pathologie chronique, vous n’avez quasiment aucun risque de mourir.

Dans ce cas, je pense qu’il est inutile de suivre le protocole du Pr Raoult. Autant guérir seul, avec l’aide de remèdes naturels.

A l’inverse, si vous avez de l’hypertension, du diabète ou d’autres pathologies sérieuses, votre risque de mourir en cas d’infection au coronavirus est très élevé (plus de 10 %).

Et si vous avez plus de 80 ans et deux pathologies chroniques, vous avez peut-être un risque sur trois de mourir si l’on vous diagnostique le Covid-19.


Donc, il faut faire la balance entre :


  • Un risque sur 10 (ou 3 pour certains patients) de mourir ;

  • Et 1 risque sur 100 d’atteinte cardiaque (théorique), ramené à 0 en cas de suivi médical correct.

Pour moi, le calcul est vite fait : c’est évident qu’il faut prescrire l’hydroxychloroquine et l’azythromycine (+ du zinc) dans ce genre de cas !!

Même si on n’est pas 100 % certain que l’hydroxychloroquine est efficace, le jeu en vaut largement la chandelle puisque le risque d’effet indésirable grave est quasiment nul… et que le risque de mourir est très élevé sans traitement !!

Mais pour qu’il soit efficace, ce traitement doit être donné dès les premiers symptômes.

Il doit donc être donné avant l’hospitalisation… et donc par votre médecin généraliste !!


Mais le décret du 26 mars interdit aux médecins généralistes de le faire !


Et même à l’hôpital, le décret du 26 mars interdit aux médecins de le prescrire aux patients dont l’état de santé n’est pas gravement dégradé.


Arrêtons d’écouter les « grands pontes » trop liés à l’industrie pharmaceutique.

Écoutons plutôt les Pr Raoult, les Dr Eric Ménat et les Didier Le Bail.


Xavier Bazin

 

Les références et les sources citées dans ce texte :


[1]https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/des-cas-de-toxicite-cardiaque-signales-apres-la-prise-de-chloroquine-en-automedication_2122326.html [2]https://www.europe1.fr/societe/coronavirus-il-y-a-un-rapport-benefice-risque-en-faveur-de-la-chloroquine-affirme-jean-christophe-rufin-3959684 [3]http://www.academie-medecine.fr/communique-des-academies-nationales-de-medecine-et-de-pharmacie-sur-les-traitements-a-base-dhydroxychloroquine-dans-le-cadre-de-la-pandemie-de-covid-19/ [4]https://lecmg.fr/soyons-pragmatiques/ [5] Le Canard Enchaîné du 1er avril 2020 [6]https://www.parismatch.com/Actu/Sante/A-propos-de-la-chloroquine-et-de-l-inimaginable-penurie-des-masques-en-France-1680312 [7]https://marcelle.media/2020/03/26/covid-19-entretien-avec-celui-qui-est-au-coeur-des-polemiques-didier-raoult/ [8 https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/hydroxychloroquine-et-covid-19-des-resultats-preliminaires-et-contradictoires [9]https://www.nature.com/articles/s41422-020-0282-0 [10]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32074550 [11]https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/03/COVID-IHU-2-1.pdf [12]https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.22.20040758v2 [13]https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.22.20040758v2 [14]https://www.liberation.fr/checknews/2020/04/03/plus-de-600-patients-new-yorkais-ont-ils-ete-gueris-du-covid-19-en-mars-grace-a-l-hydroxychloroquine_1784084 [15]https://www.valeursactuelles.com/monde/lutilisation-de-la-chloroquine-cest-le-debut-de-la-fin-de-la-pandemie-selon-un-infectiologue-americain-117826 [16]https://public-cdn.sermo.com/covid19/c8/be4e/4edbd4/dbd4ba4ac5a3b3d9a479f99cc5/wave-i-sermo-covid-19-global-analysis-final.pdf [17]https://twitter.com/sabre_david/status/1245958357061599232?s=11 [18]https://www.parismatch.com/Actu/Sante/A-propos-de-la-chloroquine-et-de-l-inimaginable-penurie-des-masques-en-France-1680312 [19]https://nypost.com/2020/03/24/new-york-hospitals-treating-coronavirus-patients-with-vitamin-c/ [20]https://www.sante-corps-esprit.com/un-gachis-ces-remedes-contre-le-covid-19-quon-vous-cache/ [21]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31573637 [22]https://nypost.com/2020/03/24/new-york-hospitals-treating-coronavirus-patients-with-vitamin-c/


 

Mon commentaire personnel


je partage car j'avais publié dernièrement un article dans ce sens :



Mais je ne manquerais pas de le soumettre à un Professeur en médecine pour un avis plus avisé et je publierai si possible ses commentaires dans une prochaine mise à jour


Avis du professeur Aziza Benkirane :


C'est presque tout à fait cela. Sauf que la complication majeure de l'hydoxychloroquine n'est pas l'arrêt cardiaque, mais les troubles du rythme cardiaque, que l'on sait traiter. Cet exposé très documenté de Xavier Bazin est à ce point vrai, que certaines voies s'élèvent aujourd'hui pour dire - à défaut de pouvoir tester et retester tout le monde - traitons tout le monde à l'aveugle, même sans signes évocateurs.


"Qu'est-ce qu'on risque" demande Donald Trump même si sa valeur médicale reste à démontrer.

C'est peut-être encore une réflexion d'un capitalisme sauvage basé sur l'économie des coûts.

L'urgence est de rendre la prescription médicale aux médecins qui ont été formés pour cela durant plus de 8 ans d'études.










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